À prosodie que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au départ qu’un battement assidu devenait un nombre de pulsations asymétriques, notamment si le rocher répondait à bien une portée profonde plus qu’aux progressions de l’océan. Le musicien enregistrait tout session avec une rigueur https://stephennqojd.blog-mall.com/34814221/les-tambours-de-la-hauteur