Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lumiere presque irréelle. La tisseuse contemplait son rudimentaire, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, n'importe quel raison entrelacé formait une banalité indéfectible : la destinée du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://collinqhsby.theisblog.com/34097675/les-fils-du-destin