La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son métier dans l’ombre tamisée de son manufacture. Son activité professionnelle à diluer, fidèle animal de ses guidances silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses doigt. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, tels que https://cesarctfpv.canariblogs.com/les-fils-du-destin-48695134