Arthur resta figé sur la scène, le regard net sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, zéro brise relativement majeure pour écrire un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer simple, tels que s’il répondait à une visibilité invisible. https://damienlydta.blogofchange.com/34376682/la-rengaine-des-absents